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La durée de vie moyenne d’un lave-linge : moins de 9 ans
Cette même durée de vie il y a 20 ans : plus de 12 ans.

En chiffres :

  1. 27 millions d’appareils en France (Kantar TNS)
  2. 2.7 millions de lave linge vendus en France par an ( source GIFAM/Gfk)
  3. 97% des foyers français sont équipés de lave linge ( source Kantar TNS)
  4. Seulement 8% des lave linges sont lavante/séchantes.
  5. Une consommation moyenne de 220 cycles par an par machine – soit environ 4 machines par semaine.

La machine à laver a plusieurs attributs qui en font la victime collatérale des industriels de ce secteur.

  • Une technologie maitrisée avec peu ( voire aucune) rupture technologique récente.
  • Un mélange de plomberie et d’électricité une fois installée.
  • Un prix d’achat en baisse sensible sur le marché

Qu’est-ce que cela veut dire :

Depuis 10 ans les constructeurs de lave-linge travaillent à optimiser les performances de lavage – aujourd’hui par exemple la consommation électrique de nos machines est 45% inférieure à celle de 2008.
Un travail similaire est fait sur la consommation d’eau avec certains chiffres montrant une diminution de moitié de l’eau utilisée sur les lavages cumulés de l’année.
Mais il subsiste un problème – la machine en elle-même.
Saviez qu’en moyenne un français génère 20 kgs de e-déchets par an ?
Le lave-linge en fait partie. Obsolescence programmée, baisse qualitative afin d’obtenir un prix de marché – nos investissements électroménagers se font à court terme. Ils génèrent de grandes quantités de déchets.

Aujourd’hui une solution est en passe d’être mise à la disposition du plus grand nombre :

L’increvable
https://www.lincrevable.com/fr/reserver/

  • Durable
  • Réparable
  • Evolutive
  • Unique

Machine débarrassée de pièces difficiles ou impossibles à remplacer – elle souhaite proposer un lave linge aux composants ni collés ni soudés entre eux afin que chacun puisse la réparer. Leur promesse : 20 ans de bons et loyaux services.
Hormis des performances d’utilisation qui restent à confirmer (le produit est encore en prototype) son engagement sur une durée de vie de 20 ans divise par deux le volume de déchets généré !

Une panne ?

La façade est facilement enlevable afin de pouvoir faciliter la maintenance.
Les composants principaux peuvent être changés facilement par vos soins.

Passage en famille nombreuse ?

Vous pouvez adapter les composants de votre machine pour que votre machine devienne plus performante.

Pourquoi nous aimons la promesse de ce produit ?

Chez KAPA faire le linge ça nous connait. C’est un produit du quotidien qui facilite la vie de chacun d’entre nous – parce qu’aller battre son linge dans la rivière ce n’est pas pour nous.
C’est un appareil qui constitue, utilisé efficacement, une méthode d’utilisation des ressources optimisées pour le lavage des vêtements. Une utilisation d’ eau et d’électricité réduite et la plus efficace possible par rapport à la quantité de linge à nettoyer.
Le produit est développé avec une vision globale de la vie du produit. Et c’est comme ça que nous voyons le marché de la détergence chez KAPA. Présents sur ce marché depuis plus de 15 ans, nous développons des solutions produits qui visent à doser le plus justement ( car le surdosage est excessif en termes d’utilisation de ressources) et avec le moins d’impact environnemental dans le rejet d’eaux usées.
Que nos produits soient éco-labellisés ou non, car chez KAPA nous cherchons à proposer les deux, ils sont créés de telle manière à maximiser l’efficacité de votre cycle de lavage. Une machine pour tout votre linge (pas de besoin de faire deux machines en séparant les blancs et les couleurs) grâce à nos lingettes anti-transfert de couleurs en support 100% végétal. Une capsule de lessive justement dosée pour être transportée efficacement, pratique à l’utilisation et efficace sur les tâches.
Parce que ce projet, comme notre désir, c’est de proposer et de distribuer au plus grand nombre un produit pratique, efficace et conçu dans le respect des ressources.

Et pourquoi pas :

Nous ne sommes pas les ingénieurs qui réalisent ces appareils, mais à quand l’application de cette éthique aux laves vaisselles ?

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